Search Website Design and Content © by Eric Krause, Krause House Info-Research Solutions (© 1996)
      All Images © Parks Canada Except Where Noted Otherwise
Report Assembly/Rapport de l'assemblée © Krause House Info-Research Solutions

Researching the Fortress of Louisbourg National Historic Site of Canada
  Recherche sur la Forteresse-de-Louisbourg Lieu historique national du Canada


Le destin aventureux d'Augustin du Bosc Henry

Return/retour


TABLE OF CONTENTS
 

BOSCHENRY DE DRUCOUR (Drucourt), AUGUSTIN DE (he signed Chevalier de Drucour), naval officer, governor of île Royale; baptized 27 March 1703 in Drucourt (dept. of Eure), France, son of Jean-Louis de Boschenry, Baron de Drucourt, and Marie-Louise Godard (Godart); d. 28 Aug. 1762 at Le Havre, France. 

... As governor during the siege Drucour had two main decisions to make. The first concerned the fleet. Although the naval officers were reluctant to risk their ships by staying in the harbour, and asked permission to leave in order to fight at sea or run for France, Drucour ordered them to stay. He worried that he had committed the ships mistakenly, but his action was supported by the council of war called to consider the matter on 9 June and also by the minister of Marine, Claude-Louis de Massiac, who observed that the request by the captains had been "premature" and "dangerous." Drucour was unable to force the captains to follow Vauquellin's example and turn the enormous firepower of their ships against the English batteries, although such action might have made the difference between winning or losing the siege. 

Drucour's second major decision was when, and under what terms, to surrender. At a council of war held on 26 July some officers initially favoured surrender; others urged a continued defence, even to sustaining an assault against the town. Drucour asked the British for terms but when the harshness of these became known, the officers agreed to fight on. At this point Prévost spoke on behalf of the civilian population and urged capitulation. Persuaded by this plea, Drucour accepted the British terms; the garrison surrendered as prisoners and without the honours of war.  [Source: John Fortier, Director of Research, Fortress of Louisbourg, National Historic Park, Government of Canada ... Dictionary of Canadian Biography, 1741-1770 , Volume 3 (Toronto, University of Toronto Press, 1974), pp. 71-73)]


[For the original, go to: http://drucourt.free.fr/pages/le_siege.htm]

Le 1 avril 1758, Augustin du Bosc Henry nomme M. de la Loue, capitaine au bataillon d’Artois, commandant du Poste de l’Ile d’Entrée avec pour mission de s’y rendre au plutôt, au regard de ses connaissances du lieu et de son zèle, et de veiller avec toute son attention à ce que l’artillerie soit bien servie et tire à bonne portée pour qu’il en résulte les meilleurs effets sur l’ennemi. Le 14 mai, il décide que M. de Saint Julien, commandant le bataillon d’Artois, se rendra au premier signal des deux coups de canons du Cavalier de la Porte Dauphine et de la générale, au poste de la Cormorandiére, y renforcera avec autant de piquets qu’on pourra tirer des bataillons qui composent la garnison .ceux qui ont déjà dans les retranchements de cet endroit, ayant par devers lui la connaissance du local et des forces qui sont au deux autres retranchements de cette côte, et comme sa manoeuvre de porter des secours ou en tirer de ces endroits, dépendra de celle que l’ennemi fera pour y descendre, l’expérience qu’il a du métier de la guerre lui suggérera les moyens les plus efficaces pour tirer le meilleur parti de l’objet pour lequel il est détaché, et de ménager sa retraite à la ville dans le cas que les retranchements soient forcés. Le même jour, le chevalier de Drucourt prend des dispositions analogues envers M. Marin, commandant le bataillon de Bourgogne, qui se rendra au premier signal des deux coups de canons du canon du cavalier de la Porte Dauphine et de la générale, au poste de la Pointe Plate ; ainsi que vis à vis de M. Dauthonnay, commandant le bataillon des Volontaires Etrangers se rendra au premier signal des deux coups de canons du Cavalier de la Porte Dauphine et de la générale au poste de la Pointe .

Pour le lecteur, nous allons désormais vivre jour par jour selon le journal écrit de la main même d’Augustin du Bosc Henry (notes B.H.), gouverneur de l’Isle Royale ainsi que du récit autobiographique de Philibert Morot de Grésigny, capitaine au régiment d’Artois, dont nous avons trouvé les mots poignants (notes M.G.). 


 

Click below on the links to go the "le siège"


[Source: http://drucourt.free.fr/pages/le_siege.htm]


Return/retour