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Researching the
Fortress of Louisbourg National Historic Site of Canada
Recherche sur la Forteresse-de-Louisbourg Lieu historique national du Canada
ETUDE
SUR LES PROPRIÉTÉ DE LOUISBOURG
RAPPORT NO. II - LES RUES
BY
RODRIGUE LAVOIE
(Sous la direction de B. C. Bickerton)
October 6, 1965
Report H D 3
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Louisbourg
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Table des Matières
Chapitre III
LA SYNTHESE DU PLAN ET DES DONNES FONDAMENTALES DE LA VILLE
Entre 1722 et 1734, le plan de Verville, dans ses grandes lignes, s'est réalisé. Cependant, nous avons pu souligner déjà quelques traits nouveaux apportés au plan de Louisbourg en 1734, traits qui n'étaient pas inclus dans le plan de 1722: de quarante îlots, la ville en a désormais quarante-cinq; bien plus, les difficultés rencontrées par Vallée dans la confection d'un toisé général de la ville indiquent à coup sûr que bien des dispositions du plan primitif avaient été, en fait, ignorées, soit par insouciance, soit par l'apparition de nouvelles données, non prévues par l'auteur du plan. Ainsi peut-on supposer que le véritable Louisbourg n'est peut-être pas tout-a-fait ce lui du plan entrevu.
D'autre part, il nous faut souligner ici, plus que nous ne l'avons fait auparavant, les critères qui définissent Louisbourg; bien sûr, la capitale de l'ile Royale est une ville; mais plus encore, elle est une forteresse, de même qu'un port commercial. Aussi faut-il penser que les constructeurs de Louisbourg ne pouvaient, décomment, ignorer ces critères fondamentaux, et que le plan de la ville, réalisé progressivement, s'est trouvé relié à la forteresse et au port afin de constituer avec elle un tout homogène et harmonieux.
A prime abord, bien sûr, cette idée peut paraître assez hypothétique si l'on rejette l'idée d'un Louisbourg pensé et si l'on se refuse à reconnaître l'utilité de l'hypothèse historioue. Par contre, elle peut tout aussi bien paraître banale, par sa trop grande évidence, et ne pas valoir qu'on y attache autant d'importance. Quoi au'il en sout, ce n'est pas tant l'hypothèse, l'idée elle-même, qui nous intéresse ici: elle est surtout un prétexte pour vérifier s'il y eut des changements apportés au plan primitif, et comment ils se sont inscrits dans le paysage de la ville. Tant mieux si notre hypothèse s'en trouve vérifiée.
Le premier Louisbourg, on l'a vu précédemment, avait été établi le long de la côte et sur la presqu'île du grand étang, au hasard des inclinations naturelles. Aucon plan, voire aucune juridiction n'avait déterminé ses lignes d'expansion [1]. Mais le plan de 1722, rendu nécessaire par les excès de cette anarchie urbaine, vint bouleverser tout cela. Outre qu'il planifiait la future cité et qu'il en déterminait l'avenir à l'avance, il modifiait l'orientation de la ville; les rues de celle-ci devaient désormais aller d'est en ouest et du nord au sud. Bien sûr, ce plan supposait le redressement de l'alignement des édifices de la presqu'île afin d'intégrer cette partie la plus ancienne de la ville au plan qui devait constituer la future cité.
On y propose, en effet, de tracer les îlots 4 et 5 selon la ligne qui délimite les îlots 1, 2 et 3 qui bordent la quai. La rue du Quay doit suivre cet alignement et s'étendre d'est en ouest parallèlement à la rue Royale [2]. Ceci répondait à une exigence de la Cour qui, dès 1721, ordonnait que "quand les maisons et cabanes qui y seront construites [selon cet alignement fauti] viendront à tomber, elles seront bâties suivant les alignements qui seront donnée" [3].
Cependant, en 1726, Verrier déplore le maintien de cet état de choses. Sans doute sur l'instigation de la Cour, il dresse le plan de cette partie de la ville [4]. l'on peut y constater l'absence de règles dans l'établissement de ce secteur. La rue du Quay s'oriente différemment du reste de la ville, et se termine en cul de sac a ses deux extrémités. Des édifices la bordent des deux cotés, sans arret sur toute sa longueur, si bien que la rue Dauphine ne peut communiquer avec elle que par un étroit passage d'à peine une toise.
Verrier propose donc de rectifier l'alignement de la dite rue, et d'en intégrer les constructions aux îlots 4 et 5. Quant aux bâtiments construits sur le coté nord de la rue, il les situe dans un nouvel îlot découpé au nord de l'îlot 4, "l'île du quay" [5]. Il suggère en outre de débloquer la rue Dauphine et de la faire communiquer avec la rue du Quay en la faisant obliquer d'environ vingt degrés vers le nord-ouest. Elle longerait, du coté est, l'île du Quay. De quatre toises qu'elle a de large tout au long de son parcours sud-nord, elle se rétrécit à trois toises sur la longueur de son biais. Enfin, la partie de la rue du Quay située a l'est de la rue Dauphine semble rester intacte, et l'on n'y propose aucun changement.
En 1734 , l'île du quay existe définitivement, de même qu'un îlot nommé presqu'île du quay, qui groupe les terrains concédés du coté nord de la rue du Quay, à l'est de la rue Dauphine [6). La jonction de cette dernière rue avec la rue du Quay est opérée, et son biais tracé et toisé: [L'îlot] No 4: De 33 toises de face sur la rue de l'Estang et de 37 toises sur la rue Royalle, de 29 toises d'une part et 6 toises 1 pied de l'autre sur la rue Dauphine..." [7] De l'autre coté, le long de l'îlot numéro 5, la longueur du biais est de 9 toises [8]. Au nord de la rue du Quay, la rue Dauphine s'étend sur 16 toises et demie le long de la presqu'île, et de 20 toises et demie le long de l'île du quay [9].
Le plan de Vallée rêpète encore la tentative de redresser la rue du Quay, mais il est clair, cette fois, que la chose est à peu près irréalisable sans grande frais; aussi, en 1737, l'alignement de cette rue selon son tracé primitif est-il consacré [10]: cette fois, on a même décidé d'en tirer parti et d'aménager une place dans le triangle resté libre au fond de la rue, depuis l'île du quay. La plupart des bâtiments se sont pliés à l'alignement de cette île, et, en 1740, il ne reste plus qu'à déplacer la maison d'un nommé Langevin pour que la chose fût réalisée [11].
Ainsi, cette partie de la ville a-t-elle gardé son originalité première malgré les efforts répétés pour la refaire et l'intégrer dans le plan rigide de Verville. Cette résistance n'a pas été que négative, qu'en opposition; il a aussi fallu adapter le plan à cette région particuliere: c'est ainsi que la rue Dauphine est forcée d'obliquer vers le nord-ouest pour joindre la rue du Quay et éviter cette "partie du grand Estang qui aseiche a basse mer" (12).
Si l'on peut voir, dans cette résistance des anciens alignements, de même que dans le développement de ce secteur de la vîlle (l'île du quay), la supériorité des intérêts des pêcheurs, peu soucieux de classicisme et de rectitude,, nous y voyons en même temps une heureuse façon d'intégrer le "vieux" Louisbourg à la ville planifiée, en adaptant un plan théorique aux nécessités pratiques. Dans cette optique, le plan de Verville s'est trouvé amélioré par l'exécution qui en fut faite.
Cette première entorse au plan initial n'est pas unique. Au contraire, à mesure que le territoire de la cité se concède et se construit, de nouveaux besoins se font sentir. Et la nécessité fait penser a de nouveaux changements.
Verville avait prévu de garder, à l'intérieur de la ville, entre les fortifications et les terrains a concéder, un vaste espace libre de toute construction. Ainsi, entre les îles des maisons et la ligne des fortifications, une largeur d'environ quarante toises était prévue comme ne devant pas être touchée. Seul l'îlot numéro 1, où devaient être réunis les bâtiments royaux, dérogeait a cette règle [13].
L'adaptation du plan fut un peu différente et négligea cette législation. Déjâ, vers 1730, la rue Saint-Louis subit un allongement de quelques toises à son extrémité sud, et un îlot carré est découpé du coté ouest de la rue [14]: L'îlot 45. (Cet îlot existait déjà depuis 1722; il y eut une concession le 23 Octobre. La seconde eut lieu le 15 Septembre, 1727.) De même, la rue de Scatary se trouve elle aussi allongée de quelques toises. En 1734, l'on apprend de Vallée que la rue Saint Louis, de même que la rue de Scatary, ont toutes deux été allongées de 15 toises [15]. L'îlot 45 y est tracé désormais comme un triangle rectangle de 15 toises de côte, et l'îlot 35 est porté en un rectangle de 22 toises de face sur la rue de Scatary [16].
En même temps, une nouvelle rue est tracée au sud de la rue de Scatary. La zone de peuplement délimitée par lès rues Royale et Scatary se trouve tout entière concédée et occupée, et le besoin d'extendre le territoire urbain dans ce secteur se fait sentir. L'on dédaigne la réglementation de Verville et l'on déborde sur le territoire laissé libre. La rue du Rempart est tracée a 31 toises au sud de la rue de Scatary et permet de découper quatre nouveaux îlots: 41, 42, 43 et 44. Ceux-ci sont de forme irrégulière, suivant à environ 10 toises la ligne des fortifications de ce côté. De plus, les îlots 41 et 42 sont découpés en équerre vers l'intérieur, afin de ménager une large place vis-à-vis la Porte de la Reine, ('Place de la Porte de la Reine"), mise au centre de la courtine qui relie le bastion de la Reine et le demi-bastion Princesse.
Ainsi, d'une parte le territoire de la cité prend son extension maxima et définitive. Ces nouveaux îlots ne constituent, au départ, qu'une réserve pour l'avenir (encore ici, l'idée de prévoir pour l'avenir se dégage nettement); mais déjà, dès cette date, îlot 45 est concédé à deux propriétaires, et trois tenanciers se partagent l'îlot 44. L'aménagement du territoire semble donc se faire d'abord en élargissement des limites du plan primitif.
Par ailleurs, le développement de la ville se fait à l'intérieur même. En 1728, une "nouvelle rue de l'hôpital" [17a] est tracée. Elle découpe les îlots 21, 32 et 38, de 40 toises de face [17], en deux sections égales de 18 toises [18]. Elle a donc quatre toises de largeur, largeur qui nous semble la même pour toutes les autres rues de la ville, si bien que nous la considérons comme courante à Louisbourg, sauf en ce qui touche les rues suivantes: Toulouze, 30 pieds [19]; du Cloître, 12 pieds [20]; du Quay, 20 pieds [2l], biais de la rue Dauphine 18 pieds; et rue Petit Etang, probablement 12 ou 18 pieds [22]. En face de l'hôpital, la rue s'ouvre en deux quarts de cercle rognés sur les terrains adjacents pour former la "place de l'hôpital" [23].
Enfin, la difficulté de résoudre les problèmes soulevés par le transfert d'anciennes concessions faites sans égard aux besoins du service public oblige, en 1734, à délimiter un nouveau terrain a l'ouest de l'îlot numéro 1. Le sieur Lartigue, important personnage de Louisbourg, obtient la concession de ce terrain, le long de la rue du Petit Etang, rue qui borde l'îlot 1. [24]
Au plan primitif, se sont ajoutée trois nouvelles rues la rue de l'hôpital, la rue du Rempart et la rue du Petit Etang; cïnq îlots, les numéros 41, 42, 43, 44, 45 vol. 1, et l'île du Quay; et un terrain non numéroté. De ce fait, la ville, tant du côté des terres que du côté qui fait face au port, occupe tout le territoire disponible et il n'y reste, en 1734, que peu du terrains à concéder. La recherche de terrains situés le plus près possible du centre de la ville ou des lieux de travail (on nous dit que ce sont surtout les ouvriers qui s'installaient le long des rues de France et de Scatary, jusqu'à l'hôpital, alors que les officiers de la garnison préféraient se rassembler au delà rue Dauphine) fait que toute cette partie de la ville est assez densément peuplée (du moins presque totalement occupée), alors que la densité des concessions va en diminuant de plus en plus à mesure que l'on s'éloigne vers l'est, au delà de la rue d'Estrées. C'est peut être là un fait de mentalité, mais il a rendu nécessaire la délimitation de nouveaux îlots et de nouvelles rues, et ainsi forcé l'adaptation du plan initial aux besoins ressentis.
C'est un fait que, du côté de la pointe de Rochefort, les îlots sont à peu prés vides. Ceux qui sont occupés sont concédés en vastes portions, souvent trois et quatre fois plus grandes que celles que l'on trouve dans le centre de la ville. En 1739, lorsque Verrier soumet son projet pour fermer entièrement la ville, la chose est encore vraies pour les besoins des fortifications, il faut exproprier les tenanciers des îlots 10, 24, 29 et 30 [25]; il ne s'y trouve que dix terrains concédés le long des rues de Conty et de Condé. De ces dix terrains, trois seulement sont bâtis, et les autres ne portent aucune construction. Aussi l'établissement de cette enceinte ne posa-t-il pas trop de difficultés de la part des habitants. Nous sommes loin de l'opposition tres évidente manifestée par les habitants de la rue du Quay refusant de placer les maisons et magasins suivant les alignements proposés par l'ingénieur.
Par cette nouvelle ligne de fortfication, la ville se trouve totalement fermée, en 1741 (il ne reste plus que la batterie de la Grave et le quai à faire, et ils ne changent rien des limités de la ville). Ceci change passablement le visage de la ville: les îlots 6, 9, 10, 24, 25, 28 et 29e de même qu'une partie de l'îlot 30 disparaissent pour faire place aux bastions de Brouillan et de Maurepas, cependant que les îlots 7, 8, 26, 27 et ceux qui sont découpés a l'est de la rue de la Grave sont rejetés en dehors de la ville.
Ces derniers n'en continuent pas moins d'exister pour un certain temps. En 1740 [26], ils sont encore tracés sur une carte: l'îlot numéro 8, par exemple, est plus qu' à moitié aménagé par des bâtiments qui y sont construits et un grand jardin qui y est découpé. Il en est de même pour l'îlot 26. Il en sera ainsi durant quelques années encore, jusqu'a la prise de la ville par les anglais en 1745.
Néanmoins, définitivement, la ville proprement dite s'arrête à la rue de Conty. Et c'est a l'intérieur de cette vaste enceinte que se situe le territoire définitif de Louisbourg.
S'en souvient-on, l'enceinte et le plan de la ville étaient quelque peu reliés dans le plan de Verville, en 1722, que ce fût par hasard ou non. En 1742, il n'est plus guère possible de parler de hasard: la ville et la forteresse constituent un tout homogène, dans lequel les différents traite du plan de la ville sont mis en relation avec les divers aménagements de l'enceinte. Par pragmatisme, certes, mais dela n'exclut pas nécessairement une certaine harmonie.
C'est ainsi que les cales et ouvertures pratiquées dans le mur du quai du coté nord de la ville sont situées tres exactement en face des rues qui débouchent sur le quai: rue Dauphine, cale de l'étang; rue de l'Estang, cale de la halle; rue Saint Louis, cale de l'Intendance; rue Toulouze,, cale Toulouze, surmontée de la Porte Frédéric, entrée de la ville du côte du port; rue du Petit Etang, cale Dauphine. En même temps que la communication s'en trouve facilitée et que l'égouttement de la ville s'on trouve assuré [27], cela crée une heureuse harmonie entre la disposition du plan de la ville et la situation des divers aménagements du quai.
De même, la rue d'estrées est déviée, à son extrémité sud, d'environ une douzaine de degrés vers le sud-ouest,, pour aboutir à la Porte de la Reine. Cette déviation commence a partir de 1'îlot 38, que Vallée décrit ainsi: "No. 38. Deuzième partie de 18 toises sur la rue de Scatary, 31 toises sur la rue de l'Hôpital, 16 toises sur la rue du Rempart, de 12 toises 1 pied d'une part et 19 toises de l'autre sur la rue d'estrées." [28]. C'est là une autre modification approtée au plan original afin de créer une synthèse aussi complète que possible entre le plan de la ville et sa fortification.
Avec cette dernière adaptation, faite entre les années 1730 et 1734 [29], et l'établissement de la porte de Maurepas, a l'extrémité est de la rue d'Orléans, entre les bastions de Brouillan et de Maurepas, Louisbourg atteint un terme de son évolution. En ce qui touche son plan, le tracé de ses rues, tout est fait. Par suite, nous trouverons certes des projets susceptibles de modifier une partie on l'autre du plan que nous avons décrit, mais ils ne seront pas réalisés, et les changements supposés à partir de certaines cartes après 1742 n'ont jamais vu le jour.
Du Louisbourg originellement prévu au Louisbourg des années 1740 et 1750, la différence, a première vue, n'est pas tellement grande si l'on fait exception de la partie de la pointe à Rochefort qui s'est trouvée rejetée en dehors de la ville par l'etablissement de l'enceinte de ce côté. Dans ses grandes lignes, son orientation générale, les grands traits qui le décrivent et le déterminent, le plan est resté sensiblement le même. Mais à l'analyse, on perçoit toute la différence qui peut exister entre un projet théorique et sa réalisation fondée sur les conditions locales. La réalisation du projet de Verville, en effet, s'est heurtée à des difficultés plus grandes que prévues, la présence de l'étang, l'établissement d'un premier noyau de peuplement avant l'élaboration d'un plan général d'aménagement du territoire urbain, le besoin ressenti de relier de plan de la ville aux aménagements qui l'entouraient, enfin le manque d'espace, autant de problemes qui ont amené certaines modifications du tracé initial. En plus de les décrire, nous avons essayé de les expliquer, de les analyser.
En outre, le plan de Louisbourg en 1742 a l'immense supériorité sur le plan de Verville de doter celle-ci d'un axe de composition, autour duquel se relient toutes les parties de la place: l'axe d'Orléans-d'Estrées. Aboutissant aux deux principales portes de la ville, ces deux rues constituent, du fait, les deux artères principales de Louisbourg, même si la chose ne s'inscrit pas matériellement dans la paysage de la ville. La réalité de ce fait ressort particulièrement sur une carte de 1745, sur laquelle on nous présente un croquis stylisé, faux quant aux dimensions qutil donne, mais peut-etre réel en ce qu'il manifeste certaines considérations psychologiques ou mentales qui ne s'inscrivent pas sur le terrain: ce plan fait ressortir très nettement les rues d'Orléans et d'Estrées [30].
La synthèse du plan primitif et des données fondamentales de la ville, premier Louisbourg, étang, quai et fortifications, est dès lors completée.